CONTRIBUTION Guillaume Gaulard

Publié le par Maud Lix

Thème 1 : La confiance, une condition de départ permettant de poser les bases d’un KM perçu comme un vecteur de gains potentiels pour les intervenants de la relation. Ou à l’inverse, le KM permet il de rassurer les intervenants ?

 

=> La formalisation des échanges est elle conditionnée par la considération « à risque » du partenaire privilégié ?

 

Croisement de la question 3 partie 1 et de la question 31 partie 3.

 

=> Y a t-il une corrélation entre le nombre d’employés en interaction avec le partenaire et la confiance ressentie dans la relation établie avec ce partenaire ?

 

Croisement de la question 8 partie 1 aux questions 11,12, 13, 14 partie 1.

 

=> La confiance (sous-entendu l’excès de confiance) dans la relation partenariale peut elle constituer un frein au développement d’une solution de partage des connaissances ?

 

Test du KI² entre question 13 partie 1 et question 30 partie 3.

 

=> La formalisation des échanges est elle conditionnée par un manque de confiance dans la relation partenariale ?

 

Croisement de la question 13 partie 1 et de la question 31 partie 3.

 

=> La nature du partenaire ‘privilégié’ (fournisseur stratégique ou client) soumet elle la relation partenariale a une diffusion des connaissances de manière plus restreinte ou au contraire plus large ?

 

Croisement de la question 2 partie 0 aux questions 55 à 60 partie 5.

 

Thème 2 : Les gains attendus en face des contreparties !

 

=> Le KM est il directement perçu comme une source de gains potentielles ?

 

Questions 41 à 48 (si réponses positives) partie 4.

 

=> Existe t-il un gain de compétences  réciproques au sein de la relation partenariale, même si la prise d’initiative est unilatérale ?

 

Croisement de la question 25 partie 2  et de la question 60 partie 5.

 

=> La volonté de profiter de la capacité d’innovation du partenaire peut-elle aller jusqu’au lancement d’une mise de départ (financement conjoint) ?

 

 Croisement des questions 37, 32 partie 3 avec la question 4 partie 1.

 

 

Thème 3 : Le KM est il supporté par une méthodologie ?

 

=> Est ce que l’appartenance à un groupe d’experts permet d’aborder une problématique avec plus de méthodologie ?

 

Croisement de la question 26 partie 2 et des questions 21, 22, 23, 24 partie 2.

 

 

 

 

Thème 4 : KM, amortissement face à l’évolution de l’environnement !

 

=> L’importante déclinaison de technologies permettant le partage des connaissances est elle une réponse face à la forte adaptabilité requise dans la relation partenariale ?

 

Croisement des questions 16 partie 1 et 39 partie 3.

Pour ce croisement, si c’est possible, on pourrait fixer des seuils de « déclinaison ».

Exemple : < 3 outils sélectionnés sur 9 cités correspondant à une faible déclinaison

                        3<=X<6 correspondant à une déclinaison moyenne

                                    X>=6 correspondant à une déclinaison forte

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